Les cinq skins CS:GO les plus chers en 2023

0
1025

Les skins font partie de CS:GO comme l »air que l »on respire. Mais certaines d »entre elles atteignent des prix si astronomiques que l »on en a vraiment le souffle coupé. Nous vous présentons les cinq plus chères

Les

Skins sont désormais bien connues des joueurs. Elles sont proposées dans presque tous les grands jeux en ligne comme League of Legends, Fortnite &amp ;. La plupart du temps, le prix des skins se situe dans une fourchette à un ou deux chiffres. Dans CS:GO, les skins constituent un monde à part entière. On entend régulièrement des histoires sur certains skins qui pourraient tout aussi bien servir à financer une confortable maison de vacances au bord de la mer. Voici les cinq skins les plus chers du moment :

Qu »est-ce qui rend certaines peaux si chères

Il y a quelques facteurs qui peuvent influencer le prix d »un skin CS:GO. Par exemple, si elle est peu « usée », cela augmente son prix. Il est préférable qu »un skin soit neuf, qu »il ait le StatTrak™ (une fonction de comptage des kills), un taux de chute particulièrement bas, le pattern le plus rare et les stickers les plus chers. En bref, plus un skin est rare, plus il est cher.

Il se peut donc que la valeur marchande d »un même skin varie énormément. Mais quels sont les skins les plus chers ?

Place 5 – Katowice 2014 Stickers (Holo) : 10.000€ – 40.000€


Dès le premier skin, ce n »est pas vraiment un skin, mais un sticker. Ou plutôt, deux stickers qui se négocient à peu près dans la même catégorie de prix. Les autocollants peuvent être ajoutés à un skin dans CS:GO et augmentent encore son prix. Ces stickers extrêmement rares sont des stickers des équipes iBuyPower et Titan pour l »IEM Katowice 2014. Par le passé, ils ont été vendus jusqu »à 40 000 €. En raison du statut particulier dont ils jouissent, ces stickers sont en partie responsables de certains des chocs de prix suivants.

Place 4 – M4A4 Howl : 2.000€ – 100.000€


Le prix élevé de la skin la plus chère du M4A4 cache une histoire particulière : le design original de cette skin avait été volé. En conséquence, la skin n »a été disponible que pendant une courte période avant d »être retirée de la course pour des raisons de droits d »auteur. Le plus cher des quelques skins en circulation a été vendu en 2020 pour l »équivalent d »environ 100.000 €.

Place 3 – AK-47 Case Hardened (Pattern 661) : 30.000€ – 120.000€


La série de skins Case Hardened est généralement l »une des plus chères de CS:GO. Dans ce cas particulier, c »est surtout un pattern très particulier (numéro 661) qui est à l »origine de ce prix énorme. Cette variante de skin présente une proportion particulièrement élevée de reflets bleus, qui constituent la série de skins. Seules ces soi-disant « Blue Gems » atteignent des prix à six chiffres.

Place 2 – Souvenir AWP Dragon Lore : 24.000€ – 400.000€


Souvenir est un statut qui peut faire grimper encore plus le prix des skins. On n »a une chance d »obtenir des Souvenir Drops que lors des matchs Esport officiels, ce qui les rend nettement plus rares. Il n »est donc pas étonnant que le skin le plus convoité de CS:GO arrive en deuxième position de notre liste, avec une valeur estimée jusqu »à 400 000 €.

Première place – Karambit Case Hardened (Blue Gem) : plus de 1 200 000€


La première place est occupée par un carambite très spécial qui n »a en fait jamais été vendu au prix indiqué. Il s »agit du seul carambite Blue Gem ayant le statut de neuf d »usine. Son propriétaire l »avait acheté en 2016 pour la modique somme de 100.000€. Depuis, sa valeur a augmenté de manière incommensurable, puisqu »une offre d »achat de 1,2 million d »euros a déjà été refusée. Au sein de la communauté, la valeur du Karambit est estimée jusqu »à 2 millions d »euros.

Plusieurs personnes ont du mal à s »imaginer dépenser autant d »argent pour « quelques pixels ». Après tout, pour 1,2 million d »euros, on pourrait par exemple s »acheter une petite villa à Majorque. D »un autre côté, on pourrait aussi dire la même chose pour les pierres précieuses – c »est-à-dire les vrais « gems », non ?